Cette thérapie en 3 D, basée sur les mêmes principes de désensibilisation systématique (habituation/extinction) que les thérapies comportementales et cognitives (TCC), permet de traiter un stress, une dépression, une addiction, un trouble neuropsychologique, un trouble anxieux, une phobie… Les logiciels élaborés scientifiquement par C2Care permettent à chacun de pouvoir s’exposer graduellement et en toute sécurité aux stimuli anxiogènes, stressants ou aux sources d’un comportement addictif.

Objectif :
Se libérer de troubles anxieux, d’addictions (tabac, alcool, drogue, jeux), de phobies (claustrophobie, agoraphobie, amoxophobie, phobie scolaire, glossophobie, bélénophobie, arachnophobie mysophobie, émétophobie, aviophobie, cynophobie, acrophobie…).

Pour qui :
Enfants-Adolescents-Adultes-Seniors à l’exception de personnes qui souffrent d’épilepsie photosensible ou qui ont une myopie sévère (-3-5 dioptries) sans porter de lentilles.

Déroulement :
Je ne plonge pas la personne qui souhaite utiliser cette thérapie en réalité virtuelle immédiatement. Pour commencer, il nous faut déterminer ensemble quel est le problème exact, par exemple le type de phobie dont elle souffre ou le degré de son anxiété ou de son addiction. Je lui apprends également des techniques de relaxation, de gestion des émotions, de respiration qui lui seront utiles pour gérer sa réaction face à ses peurs, ses envies. Ensuite, il s’agit d’exposer la personne, équipée alors d’un casque de réalité virtuelle, à sa phobie ou à son addiction. Cela se fait de façon particulièrement douce par une exposition progressive en étant mis en contact virtuellement étape par étape avec sa peur, son anxiété, son addiction. Par exemple, pour un phobique de l’avion, les possibilités d’expositions sont multiples. Un avion en réalité virtuelle peut être plein, à moitié plein, vide… De même pour quelqu’un qui a la phobie du sang, ou des araignées, il sera immergé progressivement dans un environnement où il sera mis en contact par étape avec sa peur tout en étant guidé et rassuré par le thérapeute qui reste à ses côtés pendant toute la séance.
Le patient peut reproduire ensuite dans la réalité ce qu’il a appris en séance.
Quand il est confronté à la situation, se dire qu’il l’a déjà fait en réalité virtuelle donne de l’assurance. Le terrain immersif et rassurant, ne présente aucun danger physique.
Le travail sur soi, en toute confidentialité, élimine la gêne des patients à l’idée qu’on les remarque dans la rue, le métro ou l’avion.
A titre indicatif : 8 à 12 séances de traitement d’une durée de 30 min à raison d’une séance par semaine si possible.